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Presse

 

​LA VERVE ET L'IRONIE DE MOZART

Luxemburger Wort, par Hilda van Heel

​Mise en scène captivante, voix jeunes et bien timbrées, justesse d'intonation, beauté des décors:
tout concordait dans la représentation des «Noces de Figaro» que «Nei Stëmmen», association qui
veut promouvoir la culture vocale et musicale au Grand-Duché, nous a offertes dans la salle Krieps,
dont l'acoustique soutenait bien les voix.

La situation est exposée avec verve dès la première scène: Figaro, valet de chambre du comte
Almaviva, et Susanna, femme de chambre de la comtesse, vont se marier. Figaro mesure les dimensions de la chambre où ils placeront le lit. La musique rend une palpitation hâtive, le dialogue de Figaro et Susanne est rapide et spirituel. Dans le rôle de Figaro, le baryton Manuel Betancourt faisait revivre ce personnage sympathique, indépendant, plein de vie et d'humour. Sa voix pleine et sa puissance expressive, ses notes
basses chaleureuses et son jeu très naturel, faisaient merveille. Susanna, la soprano Dorela Cela, à la
voix souple et pure, très mélodieuse, donnait une joie de vivre contagieuse au personnage de soubrette très féminin, agile et délicieux. Elle formait un contraste saisissant avec le personnage de la
comtesse, interprété par la soprano Marie-Caroline Kfoury, artiste sensible à la voix chaleureuse, qui incarnait ce personnage noble, d'une fragilité touchante, avec grande sincérité. «Porgi amor», où elle exprime son amour et son désespoir, est un des plus beaux airs de Mozart, tout comme le poignant

«Dove sono». On a beaucoup aimé le ravissant duo comtesse - Susanna dans la scène de la lettre au troisième acte.
Le comte Almaviva, épris de Susanna, était joué par Laurent Arcaro, acteur à la voix somptueuse et
bien timbrée. Son rôle acquiert une profondeur dramatique dans les dialogues avec son épouse.

La diversité des personnages fait lui aussi l'attrait des opéras de Mozart;
Cherubino, page du comte, joué par Ciara Gallaguer , à la voix claire et éloquente, est un de ces caractères
exceptionnels qui donnent une dimension humaine à deux arias très connus, «Non so più» et «Voi che
sapete». On admirait le jeu d'ensemble, la chorégraphie précise et
animée des mouvements de scène, la musicalité du chœur «Nei Stëmmen». N'oublions pas les accompa-
gnatrices: la pianiste Miyuki Omori et la claveciniste Chiara Esposito, infatigables lors de cette longue
soirée.

 

 CONCERT DE L'ORCHESTRE DU CENTRE PHILHARMONIQUE

​ Le petit journal, édition du Lot par Raymond Foissac

  "L'association Opéra en Vallée du Lot, organisatrice de concerts nous permet d'aprécier dans notre vallée, des oeuvres classiques, des formations musicales et des solistes remarquables. 

C'est avec émotion que Claude Teulet a voulu remercier Marie-Caroline Kfoury, soliste dans Manon notamment. Nous nous associons à ce hommage mérité pour une soliste qui au-delà de son art demeure d'une grande simplicité et si proche du public."  

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MOZART PASSIONNEMENT

Journal Sud-Ouest par Eric Leurent 

"Apothéose du concert, l'« Agnus Dei » de la messe du couronnement, bissé à la fin du spectacle, fut un réel moment de grâce. Introduite par la flûte traversière, la voix cristalline de la soprano Marie-Caroline Kfoury, dans une belle complicité avec celle du ténor Sébastien Candelon, a donné une interprétation sublime de cette Å“uvre emblématique de Mozart. « Une Å“uvre que je rêvais depuis quinze ans d'interpréter avec  orchestre », confiait Marie-Caroline Kfoury, radieuse à l'issue du concert. La fin enjouée, presque joyeuse de l'Å“uvre, le « Dona nobis pacem », retentissait comme une évidence et déclenchait une levée d'applaudissements. "

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SOIREE  SACREE

Journal « Sud-Ouest »  Monsempron-Libos ( 47)  Michel Debiar    

  Marie-Caroline Kfoury a enchanté son auditoire « La soprano possède une voix adamantine qui a plongé l’auditoire dans un état de béatitude. Avec une grande sûreté d’intonation, une rondeur et une chaleur remarquables, elle a interprété un programme de chants sacrés qui résonnèrent avec bonheur en ce lieu magique qu’est  l’église romane de Monsempron-Libos……L a chanteuse a finalement donné le meilleur d’elle-même, dans les deux bis : un « Pie Jesu » de Fauré, exceptionnel de tendresse et d’émotion contenue, puis un « Ave Maria » de Verdi dans lequel son sens aigu du drame lyrique et de l’expressivité a éclaté avec puissance pour le plus grand ravissement du public qui aurait bien aimé rester un peu plus longtemps sous le charme de cette voix d’ange .» 

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​UNE VOIX D’OR

Journal « Sud-Ouest » Saint Eutrope de Born, Lot-et-Garonne  Simon Vaissière      

Une cantatrice aux commandes.  « …..la présidente de l’association, Noelle d’Egremont  avait mis la barre très haut  en programmant un concert sur le thème « amour et séduction » en invitant la cantatrice

Marie-Caroline Kfoury, soprano  lyrique.  Ce concert à guichets  fermés  restera dans les mémoires des nombreux mélomanes présents, satisfaits de l’organisation d’une soirée unique dans nos campagnes…. Le talent de l’artiste à la voix d’or étant reconnu par tous. » 

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​ SAINT JOSEPH EN VIBRE ENCORE

  Journal « Le Petit Bleu » Agen, Lot & Garonne Patrick Biringer   

  « Des applaudissements nourris, 150 personnes debout,  un bouquet de fleur remis par Gaby Artuso, ainsi s’achevait dimanche après midi le  récital lyrique de Marie-Caroline Kfoury  organisé par « les amis de Béthanie » en l’église saint Joseph du Passage d’Agen. Une église qui vibre sûrement encore…les extraits de chants sacrés qui constituaient la première partie de son programme ont donné la chair de poule à un auditoire muet d’émotion. Peut-il en être autrement  lorsque le talent est là ? .... Mêlant parfois l’humour  avec la complicité du pianiste, elle devait montrer sa faculté à changer de registre avec la même intensité, la même foi, prenant le temps avant chaque extrait de le replacer dans son contexte historique et musical. Un moment  inoubliable. »

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​VOIX D’ANGE SOUS LES VOUTES

  Journal « Sud-Ouest »  Gavaudun, Lot & Garonne,  Michel Debiar  

…Dès la première partie, la chanteuse a démontré que la voix était à coup sûr un des instruments les plus accomplis quand elle est, comme c’est son cas, parfaitement naturelle, pleine d’aisance et capable de toutes les nuances. Avec une articulation parfaite, un sens aigu du phrasé, MCK a interprété les textes de Maurice Carême,  Louis Aragon et Jean Anouilh de la plus ravissante manière. C’est pourtant en seconde partie, avec les grands airs d’opéra italiens que la soprano a emporté l’enthousiasme général. Sa voix ample et généreuse, son respect absolu du style alliés à une expressivité généreuse passionnée mais sans pathos superfétatoire a déclenché des tonnerres d’applaudissements l’obligeant à donner deux bis. « Connaissance des jeunes interprètes »  qui ne propose généralement que de la musique de chambre a réussit là une première expérience qui restera gravée dans les mémoires des auditeurs.

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